Les efforts réalisés sur la composition des peintures afin de les rendre plus respectueuses de l’environnement permettent aujourd’hui leur recyclage.
Pour créer un produit selon le "Cradle to Cradle" (berceau au berceau), l’une des deux voies possibles est l’adoption du cycle technique revenant à mettre au point des produits recyclables à l’infini.
Il faut se rappeler qu’en substituant la peinture à l’huile, la peinture à base d’eau a été une grande avancée dans l’innovation durable.
Chaque fabricant disposant aujourd’hui de peintures murales acryliques dotées d’un label environnemental, la concurrence va s’exercer sur d’autres terrains d’innovations.
Déjà commercialisés les peintures dites « éco-prime », permettent par exemple l’absorption des polluants de l’air ou encore des économies d’énergie. Ainsi, en jouant sur la luminosité, certaines peintures permettent 20% d’économies d’énergie. D’autres utilisées sur les toits permettent d’économiser environ 20 % sur la climatisation. Et les pistes sont nombreuses pour les prochaines années.
Ne nous laissons pas griser.
Prenons soin de faire les choses simples mais essentielles comme recycler nos restants de peinture disponibles.
Selon la philosophie du Cradle to Cradle, l’activité humaine peut avoir un impact positif. Nous pouvons consommer moins de ressources en faisant revenir des déchets à l’état de matières premières, sans perte de qualité.
La peinture acrylique peut devenir un produit « bouclé », elle deviendrait entièrement «cradle to cradle ».
Dans un processus C2C, la peinture recyclée apporte incontestablement une contribution positive à la peinture acrylique neuve.
Et l’inverse est vrai, si la peinture neuve n’était pas un bon produit, le produit recyclé n’aurait aucune valeur pour le client.
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